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Published online by Cambridge University Press: 04 May 2017
1 - C’est l’objet de la seconde partie, « Union et désunion », de La société des princes, XVIe-XVIIIe siècle, Paris, Fayard, 1999.
2 - Par exemple dans «The English Nobility in the Later Middle Ages», in McFarlane, K. Bruce, The Nobility of Later Medieval England. The Ford Lectures for 1953 and Related Studies, Oxford, Clarendon Press, 1973, pp. 268–278 Google Scholar.
3 - Richet, Denis, «La formation des grands serviteurs de l’État (fin XVIe-début XVIIe siècle)», L’Arc, 65, 1976 p. 56 Google Scholar.
4 - Il serait aisé d’élargir les données recueillies par Michel Nassiet (cf. p. 176); c’est par exemple le cas de la gentry anglaise ( Heal, Felicity et Holmes, Clive, The Gentry in England, 1500-1700, Stanford, Stanford University Press, 1994, p. 24 Google Scholar) ou du patriciat vénitien, dont 42 % des ménages au recensement de 1624 sont sans enfant ( Hunecke, Volker, Il patriziato veneziano alla fine della Repubblica, Rome, Jouvence, 1997, p. 432 Google Scholar).
5 - Rappelons ici l’article fondateur de Nassiet, Michel, «Nom et blason: un discours de la filiation et de l’alliance (XIVe-XVIIIe siècle)», L’Homme, 129, 1994, pp. 5–30 Google Scholar.
6 - Delille, Gerard, Famille et propriété dans le royaume de Naples (XVe-XIXe siècle), Rome-Paris, École française de Rome/Éditions de l’EHESS, 1985 CrossRefGoogle Scholar.
7 - Duhamelle, Christophe, L’héritage collectif. La noblesse d’Église rhénane, 17e et 18e siècles, Paris, Éditions de l’EHESS, 1998 Google Scholar. Cf. infra, p. 1241.