No CrossRef data available.
We use cookies to distinguish you from other users and to provide you with a better experience on our websites. Close this message to accept cookies or find out how to manage your cookie settings.
We use cookies to distinguish you from other users and to provide you with a better experience on our websites. Close this message to accept cookies or find out how to manage your cookie settings.
Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
M. Sutherland, dans son important travail, The Romans in Spain, me semble sous-estimer l'importance des mines d'Espagne dans l'économie romaine du 11e siècle av. J.-C. Il se réfère à une évaluation contenue dans la collection de M. Tenney-Franck : le revenu de ces mines représenterait « a trifle more than 5 p. 100 of the estimated entire State income ». Les chiffres sur lesquels repose cette estimation, 35 millions de deniers et 562 millions, appellent, je crois, quelques réserves. Mais ce n'est pas pour le vain plaisir de la critique que je relève ces appréciations : elles sont seulement une occasion de revenir sur le régime des mines d'Espagne à l'époque républicaine.
page 498 note 1. Sutherland, The Romans in Spain, p. 63.
page 498 note 2. Tenney-Franck, , Economie Survey of Ancient Rome, III, p. 128.Google Scholar
page 498 note 3. Je ne connais pas sur le sujet de monographie analogue à celle d'Ardaillon, Les Mines du Laurion, L'article Metalla du même, dans le Dict. des Antiquités de Darehberg-Saglio, et les travaux parus depuis, contiennent nombre de renseignements, mais surtout sur les mines de l'époque impériale. J'ai largement consulté sur les questions techniques des ingénieurs des mines modernes. Je remercie en particulier MM. Cronisnean et Poizat.
page 498 note 4. Pline, XXXIII, 97.
page 498 note 5. Ce passage fondamental de Polybe, dans Strabon, III, n, 10.
page 499 note 1. R. Ardaillon, dans l'art. Metalla, se réfère à PWNE, XXXIV, 165, pour le metallum samariense, mais la référence est fausse.
page 499 note 2. Tite-live, XXXIV, 21.
page 499 note 3. Passage cité (Strabon, III, H, 16).
page 499 note 4. Cf. mon Économie grecque, p. 130.
page 499 note 5. Ibid., p. 140.
page 499 note 6. Ibid., p. 123.
page 499 note 7. Ibid., p. 135 et suiv.
page 499 note 8. Hérodote, II, 124.
page 499 note 9. M. Heichelheim (Wirtschaft slische Schivankungen, p. 90 et suiv.) évalue Vopsonion, pour le salarié libre, au même prix que le pain. Cette évaluation me paraît forte, et ne saurait, en tout, cas, s'appliquer aux esclaves.
page 499 note 10. Dans Tenney-Franck, Econ. Survey, I, p. 155, l'auteur (M. Van Nostranet) évalue la somme à déduire du produit brut, au titre de la dépréciation pour la main-d'oeuvre servile à 10 p. 100, On verra que cette évaluation, obtenue par de tout autres considérations, coïncide à peu près avec les miennes, et peut servir de recoupement.
page 500 note 1. Cf. mon Économie grecque, p. 91, et aussi Billetir, Geschickte des Zinsfusses, p. 329, mais pour l'époque impériale.
page 500 note 2. Diod., V, 36, d'après Poseidonios, qui, un peu avant 100 av. J.-C, avait été en Espagne.
page 500 note 3. Diod., V, 36.