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1. Free Trade and Protection in the Netherlands (1816-1830) Cambridge Studies in Economie History, Cambridge University Press, 1955 ; in-8°, x-252 p. (dont 19 tableaux statistiques).
2. Rappelons que, auparavant prince de Fulda, le futur Guillaume I “ avait su s'y concilier ses sujets catholiques, selon J . A. Bornewasser ; on trouvera l'analyse du livre de ce dernier (1956) dans l'excellent « Bulletin critique de l'Historiographie néerlandaise d'E. et J. Koss- Mann (Revue du Nord, 1957, p. 271-272). Despote éclairé, mais impressionnable et perplexe devant des oppositions inattendues (Ibid., 1956, p. 272).
3. Toujours selon les chroniqueurs précités (p. 365).
4. Concernant une triple enquête gouvernementale (1816,1819 et 1843), surtout détaillée pour 1819 (Ibid., 1957, p. 269).
5. Cité par R. Demoulin, « Un Liégeois entreprenant aux Pays-Bas », en 1819 (La Vie Wallonne, 1954, p. 234). Et sur le mécontentement des marchands d'Amsterdam, lorsque le roi frappa, en 1819, le sucre et le café, opposition manifeste lors de représentations théâtrales à l'occasion d'une visite royale : « Le public a saisi avec une sorte de fureur toutes les allusions » ! (p. 235-240.)
1. Les salaires dans l'industrie gantoise (1901, p. 27). Pendant toute la durée du Blocus continental, 11 y a toujours eu un moyen légal, sans devoir recourir à la contrebande, de faire venir des tissus et d'autres produits de l'Angleterre en se procurant des licences françaises Pas un indice ne permet d'affirmer que jamais une usine ait été obligée de chômer par suite du manque de coton, de fil ou de tissu à imprimer » ( Voortman, J., L'industrie cotonnière gantoise sous le régime français et le régime hollandais, d'après les archives de la Maison Voortman, Gand, 1940, p. 71–73 Google Scholar).
2. « L'industrie cotonnière gantoise à l'époque française » (Revue d'Histoire moderne et contemporaine, 1957, p . 234-270).
3. Bronne, Carlo, L'amalgame. La Belgique de 1814 à 1830 (Bruxelles, 1948), p . 230 Google Scholar et 235. Voir tout le chapitre XII , « Raison sociale : Guillaume I “ et C ” ». Selon la dédicace de l'Académicien belge, c'est l'esquisse d'un premier Bénélux… manqué !
4. Sur les industries du département des Forêts, voir des mémoires préfectoraux (de 1812) résumés par Paul Weber, Histoire de l'Economie luxembourgeoise (1950). Du même auteur, Histoire du Grand Duché de Luxembourg (Bruxelles, Office de Publicité, 1957).
1. Revue belge de Philologie et d'Histoire, 1950, p. 993-1030, et 1951, p . 61-92.
2. Dans l'article précité (” Un Liégeois entreprenant …), M. R. Demoulin souligne qu'E. L. Renard, si empressé à décrire l'hostilité des Hollandais envers Guillaume Ier en 1819, devint, de 1830 à 1835, éditeur-imprimeur et l'un des principaux rédacteurs de L'Industrie, organe de l'Orangisme irréductible à Liège, ce qui ne l'empêchera pas de louer (en 1842) Léopold Ie le Sage ! « Il y a tout de même de l'unité dans cette vie : une nostalgie des beaux temps de sa jeunesse française jointe à un constant souci de la prospérité matérielle du pays. » Peutêtre pourrait-on aller jusqu'à y voir comme un exemple assez symbolique d'une évolution plus générale, à l'appui de la suggestive synthèse de psychologie politico-économique de J . Stengers.
3. Pichois, Claude, L'image de la Belgique dans les Lettres françaises (Paris, Librairie Nizet, 1957)Google Scholar. Cette « esquisse méthodologique », selon son auteur, n'en est pas moins attachante, s'appuyant d'ailleurs sur la thèse de M. H. T. Deschamps, La Belgique devant la France de Juillet. L'Opinion et l'attitude françaises de 1839 à 1848 (1956).L'auteur y insiste justement sur le rôle prépondérant de la grande industrie et de la haute finance dans la formation de l'opinion française d'alors… Mais l'opinion n'est qu'une abstraction de l'esprit et une opinion publique, dans sa réalité concrète, est faite d'autant de nuances qu'elle compte d'individus…, observe et objecte, avec une très rigoureuse logique, J . Stengers, à propos il est vrai des « origines de la Guerre de 1870. Gouvernement et Opinion publique » (Revue belge de Philologie et d'Histoire, 1956, p. 707-708). Mais il s'agit d'un autre débat, à reprendre. Voir encore les récentes remarques de Duroselle, J. B., De l'utilisation des sondages d'opinion en histoire et en science politique, Bruxelles Google Scholar, Institut universitaire d'Information sociale et économique (I.N.S.O.C.), 1957, n” 3. Mais H. Haag, incidemment, dénonce « la méthode frelatée des sondages » (je souligne !), Revue d'Histoire ecclésiastique, 1957, p. 577.