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Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
Les Annales ont récemment publié un intéressant article dans lequel A. Mazaheri a étudié l'origine de la balance romaine. La balance à deux plateaux s'oppose naturellement à cette dernière et il est normal qu'on compare les qualités et les défauts de ces deux sortes d'instruments. La balance romaine n'utilise qu'un seul poids, c'est l'une de ses évidentes supériorités, alors que la balance à deux plateaux ne se conçoit qu'accompagnée de sa boîte de poids.
Quand une telle boîte a été constituée, un problème de numération figurée est résolu, qui comporte des exigences nettes. Une fois choisi le poids unité, imposé par la sensibilité de la balance, il doit être possible, en effet, de peser, à une unité près, tout corps dont le poids est inférieur ou égal à la somme des poids contenus dans la boîte qui accompagne la balance.
1. Annales E.S.C., n° 5, septembre-octobre 1960, p. 833
1. On fait actuellement en électronique un gros effort pour utiliser des bases supérieures à 2, afin d'économiser les symboles. L'usage exclusif du système binaire n'aura peut-être qu'un temps.
1. J. E. Hofmann, Ueberzahlentheoretische Methoden Fermais und Eulers, ihre Zusammenkaenge und ihre Bedeutung
1. J. E. Hofmann, dans une lettre récente, nous apprend qu'il est l'inventeur de cette Loesungstern. Elle est trop miraculeusement vectorielle pour avoir été inventée anciennement