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Fonderies nationales.

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

Abstract

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Type
Théories et réalités économiques (Comptes Rendus)
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1953

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References

1. Histoire de la Fonderie nationale de Ruelle (17S0-1940) et des anciennes fonderies de canon de fer de la Marine.Première partie (1750-1855). Paris, Imprimerie Nationale, 1951, in-8°,512 pages, 133 figures, dont plusieurs planches hors texte. L'iconographie est abondante, par exemple fig. 43-48 (mines et fourneaux au milieu du XVIIIe siècle), d'après Arts des forges et fourneauxdu Marquis de Courtivron et Bouchu, d'après aussi d'autres ouvrages classiques, comme celui de Monge, etc.. ; également plans inédits (des Archives départementales de l'Isère par exemple, pour Saint-Gervais).

1. William Wilkinson, frère de John. Le Dr W. M. Ghaloner (de l'Université de Manchester) prépare une étude sur ses activités en France. Voir son esquisse biographique, John Wilkinson Ironmaster,dans History to-day(May 1951), p. 63 et 79. Cf. Jean Chevalier, Le Creusot(1939) ; Annales,1937, p. 515.

2. Lors de la soutenance de thèse de M. Pierre Léon (La naissance de la grande industrie en Dauphiné de la fin du XVIIIe siècle à 1869),le 29 mars 1952, M. P. Renouvin a justement cité en exemple la deforestation ici invoquée pour expliquer, en partie, le faible développement de la métallurgie dauphinoise à une époque de grandes fabrications de guerre comme l'Empire : il fallait, en effet, disposer de bois à proximité, les difficultés et les frais de transport faisant obstacle à l'exploitation de forêts éloignées des forges.

3. Outre le paiement d'une somme de 54 fr. pour frais de route. Heuse, Henri, Pages de petite histoire : France et Wallonie (1789-1830), Liège, 1936, p. 6164 Google Scholar.