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En Italie : Spéculations sur la Renaissance

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

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Il est de plus en plus rare de rencontrer un livre récent d'histoire qui ne soit pourvu, dès lors que ses proportions ou l'envergure du sujet le permettent, d'une bibliographie systématique et parfois critique : les Annales l'ont toujours recommandé. Mais que la bibliographie se détache d'une oeuvre particulière, comme une branche propre de nos disciplines, voilà une conséquence du développement même des sciences historiques. Depuis quelques années, des ouvrages paraissent qui se consacrent exclusivement à la discussion rétrospective des points de vue et des opinions successives des historiens d'hier et d'aujourd'hui concernant un thème donné.

Type
Notes Critiques
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1953

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References

page 379 note 1 Federico Chabod, Cli studi di storia del liinascimento, dans Cinquant’ anni di vita intellïlluale italiana : 1896-1946, ouvrage publié en l'honneur de Benedetto Croce, vol. I, p. 125-207.

page 379 note 2 Ibid., p. 173, 11= partie.

page 380 note 1 P. 196, IIe partie.

page 380 note 2 Voir le rapport imprimé par le IIIe Congrès International d'Études sur la Renaissance, p. 19.

page 380 note 3 P. 140, I “ partie.

page 381 note 1 En d'autres termes, la Renaissance constitue dans la vie spirituelle de l'Europe «une période philosophique, littéraire, artistique qui a certainement ses origines dans une réalité politique précise et dans une réalité sociale nouvelle mais qui, à un moment donné, se déploie pour ainsi dire de façon autonome et, tirant de ces réalités le suc vivant pour s'en nourrir, l'élabore en concepts et en images, en fait un monde en soi : un monde d'idées, de doctrines, de créalions artistiques qui se déploie jusqu'à l'épuisement de sa force intérieure » (Ibid.).

page 381 note 2 H Rinascimento italiano, Milan, 1941, p. 15.

page 381 note 3 F. Ghxbod, Glistudi…, ouvr. cité, p. 142, Ir e partie.

page 381 note 4 Il problema religioso del Rinascimento : storia délia critica e bibliografia, Florence, 1952. L'ouvrage est suivi d'une bibliographie d'une quarantaine de pages (p. 163-203) et d'un index des noms : il est regrettable que dans les pages bibliographiques ne se retrouvent pas tous les écrits cités au cours de l'analyse critique.

page 381 note 5 Le sens unique du développement historique ne serait-il pas suivi trop strictement par la plupart des historiens qui recherchent avec acharnement le terminus a quo d'une période, mais avec beaucoup moins d'enthousiasme le terminus ad quem? Il est un fait que les deux ouvrages bibliographiques que nous présentons ici sont amenés à ignorer presque totalement les problèmes du déclin et de l'épuisement de la Renaissance.

page 382 note 1 Il problema religioso…, ouvr. cité, p. 142.

page 382 note 2 Ibid.

page 382 note 3 P. 162.

page 383 note 1 Bernardino Barbadoro, pour l'histoire politique ; Umberto Bosco, pour l'histoire littéraire ; Giuseppe Saitta, pour l'histoire de la pensée ; Mario Salmi, pour l'histoire de l'art ; Armando Sapori, pour l'histoire économique.

page 385 note 1 Voir l'introduction à ses Lettres, éditées par C. Guasti, Florence, 1880, p. xcix-cvi.

page 385 note 2 Voir aussi la conférence Economia e morale alla fine del Trecento, parue dans Studi Senesi, LXIV (8e série, I), fasc. I, Sienne, 1952.