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Chemins de fer et politique sous le second Empire.

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

Abstract

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Type
Économies (Notes et Comptes Rendus)
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1951

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References

1. Lefèvre, André, SOUS le Second Empire : chemins de fer et politique. Paris, Sedes, 1951 ; in-8», 440 p.Google Scholar

page 557 note 1. Revue des Révolutions contemporaines, décembre 1950, p. 233-249.

page 557 note 2. Sont-ils introuvables, les écrits suivants, cités au hasard: Féraud-Giraud, Législation des chemins de fer (1853) ; Garnier, Législation des chemins de fer (1853) ; Nicolas, Documents statistiques sur les chemins de fer (1855) ; Laveleye, Notes pour servir à l'histoire financière des chemins de fer (1858) ; A. Demeur, Les chemins de fer en France en 1860 ; Émion, Le commerce et les chemins de fer (1863)? Sans parler de la contribution de Proudhon : Des réformes à opérer dans l'exploitation des chemins de fer (1855) ; et d'Isaac Pereire : La question des chemins de fer (1878), où est contée l'affaire du Cette-Marseille. La liste des journaux est singulièrement étriquée : pourquoi pas La Presse, qui fut aux mains de Mirés, Les Débats, Le Temps ? Du reste, on se demande ce que contient Le Moniteur Universel aux dates indiquées (p. 429) : un discours de Montalembert au 24 juin 1852 ; mais ensuite ? En outre, la bibliographie mélange avec désinvolture les études des contemporains et les travaux récents ; si bien que le livre publié par Le Comité des Forges en 1920 voisine avec les volumes de l'Enquête parlementaire qui portent le millésime 1872, le nom de Bastiat avec celui de Pierre Benaerts, une brochure de Michel Chevalier avec les ouvrages de Charléty d'une part, de Clapham et de Dunham de l'autre. On met sur le même plan Les joueurs de mots, par L. Larchey, et l'Histoire contemporaine de Seignobos dans le Lavisse. Un chapitre de Debidour dans l'Histoire générale de Lavisse et Rambaud paraît mériter encore un rappel, mais il faut ignorer à quel tome de l'Histoire économique de la France, par Henri SÉE, il serait bon de se reporter. Enfin, quelques lacunes qui surprennent : de M. Wallon, Les Saint- Simoniens et les chemins de fer (1908) ; de Georges Weill, l'article sur « Les Saint-Simoniens sous Napoléon III » (paru en 1913 dans la Revue des études napoléoniennes) ; les travaux de Marcel Blanchard sur les chemins de fer du Midi languedocien et sur ceux de la Franche- Comté ; ceux de Léon Pondevaux et de Jean Villain sur le réseau du Nord ; Hommes et choses du P. L. M. (1910) ; les livres récents de Kimon A. DUKAS, The French Railroads and the State (New York, 1945) et de Pierre Dauzet, Le siècle des chemins de fer en France (1948) ; puisque la politique commerciale est abordée, à côté des noms de Dunham et d'Ame, et les encadrant, ceux de Nogaro et d'Arnauné.

page 558 note 1. Ainsi l'accent aurait pu être mis sur l'importance que revêtait le bassin méditerranée aux yeux de la génération de 1830-1840. Voir Le système de la Méditerranée, de Michel Chevalier (1832).

page 558 note 2. Robert Castanet, La pensée économique de Michel Chenalier (Bordeaux, thèse de droit, 1945).

page 558 note 3. Une quinzaine de lignes pour décrire « la situation internationale », c'est-à-dire l'ambiance des « groupement ferroviaires internationaux », c'est bien peu. Comment « l'évolution du trafic » peut-elle être « freinée par les hostilités » ? —- le développement, peut-être.

page 559 note 1. Il s'agit de deux Britanniques : le banquier Morrison et l'alderman Humphery ; sans compter le régent de banque Weguelin, membre du conseil d'administration. Pourquoi ces insulaires s'éliminèrent-ils assez vite ? La raison en est-elle que le trafic à partir de la Grande-Bretagne n'était pas assez important pour motiver leur présence ? (P. 358.)

page 560 note 1. P. 358, M. Lefèvre remarque l'absence d'un courant de trafic par l'Est de la France vers la Suisse en provenance de la Grande-Bretagne ; or, les indications portées au tableau de la p. 348 contredisent cette affirmation : du charbon anglais entrait en France par Calais, Dunkerque, Boulogne et Saint-Valéry pour ressortir par Bâle (des précisions sont du reste fournies p. 314).