Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
* Nous remercions la Fondation de France ainsi que la Fondation du Japon pour leur aide à la traduction de ce numéro. Nous avons adopté ici l'usage japonais qui consiste à indiquer le nom familial avant le nom personnel. Les mots japonais sont transcrits selon le système habituel, dit « Hepburn modifié ». Tous les ouvrages japonais indiqués en référence ont été édités — sauf indication contraire — à Tôkyô.
1. Yoshihiko, Amino, « Le Moyen Age japonais et quelques questions qu'il pose aux historiens », Cipango, Cahiers d'Études japonaises, n° 3, novembre 1994.Google Scholar
2. Shô, Ishimoda, Chûsei teki seikai no keisei (La formation de l'univers médiéval), Iwanami, 1946.Google Scholar
3. Mitsuo, Shimizu, Nihon chûsei no sonraku (Les villages japonais au Moyen Age), Nihon hyôronsha han, 1943.Google Scholar
4. Cf. Hara Katsurô, Nihon chûsei shi (Histoire du Moyen Age japonais), 1906.
5. On en veut pour preuve, par exemple, le lancement en 1992 d'une grande collection en dix volumes intitulée Rekishigaku to Minzokugaku, Nihon rekishi minzoku ronshû (Histoire et ethnographie, anthologie d'études historiques et ethnographiques sur le Japon), sous la direction d'un historien (Amino Yoshihiko) et de deux ethno-folkloristes (Miyata Noburu et Fukuda Ajio) aux éditions Yoshikawa Kôbunkan.
6. Yanagita Kunio, Nihon nômin shi (Histoire des agriculteurs japonais), 1931. Une première version sous forme de cours polycopié de l'Université Waseda était sortie en 1926.
7. Kunio, Yanagita, Kyôdo seikatsu no kenkyûhô (Méthodologie pour l'étude de la vie quotidienne dans les campagnes), 1935. La première partie de ce travail fut publiée dès 1932.Google Scholar
8. Cf. Berque, Augustin, « J'en ai rêvé, c'était Tokyo. Prémices d'un fantasme collectif », Annales HSS, 1994, n° 3, pp. 585–593.CrossRefGoogle Scholar