Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
A M. Zangger, de Zurich, on doit une Contribution à la terminologie de la draperie en ancien français, attesté dans des textes français, provençaux, italiens, espagnols, allemands et latins. Étude, du point de vue philologique, de l'expansion de la draperie des Pays-Bas dans l'Europe occidentale et germanique jusqu'à la fin du XIVe siècle. La documentation utilisée est d'ordre purement économique et technique; elle exclut les sources littéraires, trop imprécises, pour statuer sur les ordonnances, les tarifs de douanes, les livres de comptes et les inventaires, — disons donc sur les documents législatifs, commerciaux et financiers.
page 339 Note 1. Schuler, Bienne, 1945, XV-129 p. in-8°, et chez l'auteur, Geibelstr., 14, Zurich 10.
page 340 Note 1. M. N. Dupire a donné de ce travail un compte rendu d'ordre philologique très détaillé et très précieux pour la détermination de différents genres d'étoffes. Nous tenons à le signaler ici et ne pouvons qu'y renvoyer (Romania, t. 68, p. 491-496, 1944-45).
page 340 Note 2. Bulletin de la Commission royale d'histoire, t. CIX, 1944, p. 175-186. Tir. à part, Bruxelles, Palais des Académies, 1945.
page 340 Note 3. Voir en particulier un grand commerce d'exportation au moyen âge. Ladraperie des Pays-Bas en France et dans les pays méditerranéens (XVIII-XVe s.), Paris, iç»35 (p. 344-345). .
page 340 Note 4. De omvang de Jeperse lakenproductie in de veertienae eeuw (avec résumé français), Antwerpen Utreoht, Standaard Boekhandel, 194, 32 p. in-8° (Medelingenvan de Koninklijke vlaamse Académie voor wetenschappen letteren… van Belgie.Klasse dèr Letteren. Jaargang IX, n° 2).
page 341 Note 1. « Mechelen's Lakenuitvoer in de Middeleeuwen » (overdruk fuit Tijdssechrijtevoor Geschiedenis en Folklore, V, 2-3, 1942, blz. 55-90). L'é*ude termine par la publication du texte de l'ordonnance. Au sujet de cet article et du suivant de M. Verlinden, écrits en langue néerlandaise, nous remercions très vivement les auteurs de l'aide (particulière qu'ils ont eu l'amabilité de nous apporter pour la traduction de leurs études.
page 341 Note 2. Brabantsch en Vlaamsch laken te Krdkau op hel einde der XIV eeuu) (Mededeelingenvan de Koninklijke Vlaamsche Académie voor Wetenschappen, Letteren…Masse der Letteren. Jaargang V, N° a, 1943. Overgedrukt, 21 p.
page 342 Note 1. Revue belge de philologie et d'histoire, t. X, 1931.
page 342 Note 2. Der Handel der Koenigsberger Grossschfferei des deutschen Ordens mitFlandern um 1400, Weimar, 1937. Aibhandlungen zur Handelsjund Seegeschichte im Auftrage des hansischen Geschichtsvereins, herausg. von F. Rözig u. W. Vogel, d. V.
page 342 Note 3. Bulletin philologique et historique (jusqu'en 1715), 1942-43. Tir. a part. Paris, Impr. Nat., 1945, 32 p. in-8°. Les quinze minutes sont publiées après l'étude.
page 343 Note 1. Annuaire-Bulletin de la Société de l'Histoire de France, 1945. Tir. à part. Paris, 1947, 21 p. in-8°.
page 344 Note 1. Le document italien est accompagné d'une traduction et suivi d'une « note bibliographique », « donnant une felibliographie [critique] très détaillée de l'activité commerciale et financière des Siennois en France et plus généralement hors de l'Italie aux XIIIe et XIVe siècles », très précieuse.
page 345 Note 1. Collection nationale, 6e série, n° 67. Bruxelles, Office de publicité, 1945, 91 p., petit in-8°, une pi. (” Le rouissage »).
page 346 Note 1. De Koopman-ondernemer en de ondernemer in de vlaamsche lakennijverheidvan de mîddeleeuwen (Mededeelingen van de Koninklijke vlaamsche Académie voorWelenschappen, Letteren… van Belgie. Klasse der Letteren. Jaargang VIII, n° 4, 1946. Tir. à part. 1946, 26 p. Le travail se termine par un « résumé français » de 2 pages.
page 346 Note 2. L'auteur fait allusion pour Saint-Omer aux faiseurs, « dont la nature exacte est plus difficile à déterminer » (23-26). Mais ces travailleurs sont indiqués à propos non pas de la draperie mais de la saietterie, et c'est pour ce motif que nous n'en avons pas parlé dans nos recherches sur la première production. Autant qu'on peut s'en rendre compte, il seniM© que oe soient simplement des tisserands, les liches, dont parie le reniement, devant être une partie du métier à tisser, mais oe n'est pas absolument certain (La draperie dans la Flandre française, II, 170).