Published online by Cambridge University Press: 01 August 2014
Among the postulates of the twin method the Author describes especially the fundamental one of comparability. Whenever one assumes that the differences between monozigotic twins are due only to heredity (this is the basis of the twin method), one postulates in fact that environmental influences are of equal importance and act in the woy to differentiate one from the other both monozygotic and dizygotic co-twins.
The comparison between the two types of twins implies the identity of environmental influences and a conception of heredity and environment as indépendant variants.
As far as the psychological environment is concerned, the Author faithfully reports works on twin-condition: psychologically environment is defined according to the structure of the pair, of the duty of each co-twin the pair, and thus: a) two identical twins never hare an exactly identical environment; b) the environment of identical twins is never the same as that of non-identical twins.
Concerning pre-birth and peribirth conditions, the Author reaches the same conclusions of non-comparability between monozigotic twins, dizygotic twins and control groups of non-twins: difference in lenght of pregnancy, in weight at birth, in the rate of stillbirth and new-born deaths, in the mother's age.
The Author concludes not for abandoning the twin-method but for a revision of the criteria, and for a change of perspective.
The failure of comparison and of mathematical analysis applied to the difference between heredity and environment is not. completely negative. It reveals the inadequacy of such criteria at least in the field of psychology, and leads to overcoming them. The psychological environment does not appear as a still picture, but rather as a situation defined by the inter-social and differential duties. Furthermore, heredity and environment are variants closely dependent on each other.
Parmi tous les postulats de la méthode des jumeaux l'auteur examine spécialement le postulat fondamental de comparabilité. Quand on admet que les différences entre jumeaux monozygotes sont dûes uniquement à l'hérédité (ce qui est la base classique de la méthode des jumeaux) on postule en effet que les influences du milieu sont d'égale importance, jouent de la même manière pour différencier entre eux partenaires monozygotes et partenaires dizygotes. La comparaison entre les deux catégories de jumeaux implique l'identité des influences du milieu, et une conception de l'hérédité et du milieu comme variables indépendantes.
En ce qui concerne le milieu psychologique, l'auteur rappelle brièvement ses travaux sur la situation gémellaire: psychologiquement le milieu se définit en fonction de la structure du couple, du rôle de chacun des partenaires dans le couple, c'est-a-dire que; a) jamais deux jumeaux identiques n'ont un milieu exactement identique; b) le milieu des jumeaux identiques n'est pas le même que le milieu des jumeaux non-identiques.
En ce qui concerne les conditions pré-natales et péri-natales, l'auteur arrive aux mêmes conclusions de non-comparabilité entre jumeaux monozygotes, jumeaux dizygotes et groupes de contrôle d'enfants non-jumeaux: différences du temps de gestation, de poids à la naissance, du taux de morti-natalitè et de néo-mortalité, d'âge de la mère.
L'auteur conclut non à un abandon de la méthode des jumeaux mais à une révision des notions, à un changement de perspective. L'échec de la comparaison, de l'analyse mathématique appliquée au jeu de l'hérédité et du milieu n'est pas entièrement négatif. Il révèle l'inadéquation de ces notions, tout au moins dans le domaine de la psychologie, et il en prépare le dépassement. Le milieu psychologique n'apparaît pas comme un cadre inerte, mais comme une situation définie par des relations interindividuelles, par des rôles sociaux différenciés. Enfin hérédité et milieu sont des variables étroitement dépendantes l'une de l'autre.
Fra i postulati del metodo dei gemelli l'A. descrive specialmente quello fondamentale della comparabilità. Allorquando si ritiene che le differenze fra gemelli monozigotici siano unicamente do-vute all'eredità (questa è la base del metodo gemellare), si postula in effetti che le influenze ambientali siano di eguale importanza ed agiscano nel medesimo modo per differenziare fra loro cogemelli monozigotici e cogemelli dizigotici.
Il confronta fra le due categorie di gemelli implica l'identità delle influenze ambientali e una concezione della eredità e dell'ambiente come varianti indipendenti.
Per ciò che riguarda l'ambiente psicologico, l'A. ricorda fedelmente i suoi lavori sulla condizione gemellare: psicologi-camente l'ambiente viene definite in funzione della struttura della coppia, del compito di cia-scun cogemello nella coppia, e pertanto: a) mai due gemelli identici hanno un ambiente esat-tamente identico; b) l'ambiente dei gemelli identici non è lo stesso dell'ambiente dei gemelli non identici.
Per ciò che riguarda le condizioni pre-natali e perinatali, l'A. arriva alle Stesse conclusioni di non comparabilità fra gemelli monozigotici, gemelli dizigotici e gruppi di controllo di ragazzi non gemelli: differenza nel tempo di gestazione, nel peso alla nascita, nel tasso della mortinatalità e della neo-mortalità, nel-l'età della madre.
L'A. conclude non per un abbandono del metodo gemellare ma per una revisione delle nozioni, e per un cambiamento di prospettiva. L'insuccesso del confronto e dell'analisi matematica applicata all'infiuenza dell'eredità e dell'ambiente non è completamente negativa. Essa rivela inadeguatezza di tali nozioni quanto meno nel dominio della psicologia e ne prépara il superamento. L'ambiente psicologico non appare come un quadro inerte, ma come una situazione definita dalle relazioni inter-individuali e dai compiti sociali e differenziati. Infine eredità e ambiente sono delle varianti strettamente dipendenti l'una dall'altra.
Als eine der Voraussetzungen der Zwillingsmethode beschreibt der Verfasser besonders die grundlegende: die Vergleichsmethode. Wenn man annimmt, dass die Unterschiede zwischen EZ einzig auf Vererbung beruhen (dies ist die Grundlage der Zwillingsmethode) so setzt man in der Tat voraus, dass die Umweltseinflüsse gleiche Bedeutung haben und auf gleiche Weise wirken, um die beiden EZ — und ZZ — Partner zu unterscheiden.
Der Vergleich Zwillingsarten erfordert Gleichheit der Umweltseinflüsse und eine Auffasung von Vererbung und Umwelt als unabhängige Varianten.
Was die psychologische Umwelt anbelangt, weist der Verfasser getreu auf seine Arbeiten über den Zwillingsstand hin: psychologisch hängt die Umwelt mit der Struktur des Zwillingspaares, mit der Aufgabe eines jeden Partners in dem Paar zusammen, und daher folgt dass: a) zwei identische Zwillinge nie eine genau identische Umwelt haben; b) die Umwelt identischer Zwillinge nicht die gleiche wie die Umwelt nicht-identischer Zwillinge ist.
Bezüglich der Verhältnisse vor und während der Geburt kommt der Verfasser zu denselben Schlüssen, dass man EZ, ZZ und Kontrollgruppen von Nicht-Zwillingen nicht vergleichen kann: Unterschied der Schwan-gefschaftsdauer, des Gewichts bei Geburt, der Totgeburten-und Säuglingssterblichkeitsindexe, des Alters der Mutter.
Als Folgerung schlägt der Zwillingsmethode nicht zu verlassen, sondern die Erkenntnisse zu überprüfen und die Perspektive abzuändern. Der Misserfolg der Vergleichsmethode und der mathematischen Analyse, auf die Beeinflussung von Erbgut und Umwelt agewandt, ist nicht völlig negativ. Er bezeugt, dass diese Erkenntnisse, zumindest auf dem Gebiet der Psychologie, ungenügend sind und bereitet den weiteren Weg vor. Die psychologische Umwelt erscheint nicht als ein unbewegliches Bild, sondern als eine Situation, die durch die inter-individuellen Beziehungen und sozialen und unterschiedlichen Aufgaben bestimmt wird. Schliesslich sind Vererbung und Umwelt zwei eng vonienander abhängige Varianten.
Communication faite à la Société Française de Psychologie 7-11-53
2 Ce postulat peut d'ailleurs avoir deux sens légèrement différents: a) les effets du milieu sont les mêmes pour les deux partenaires d'un couple vivant ensemble; b) les différences de milieu des deux partenaires vivant ensemble sont de même ordre de grandeur qu'il s'agisse de jumeaux identiques et de jumeaux fraternels. Dans les deux cas, la comparaison est donc légitime.
3 Zazzo, R.: La méthode des jumeaux, An. Psychol. (1940–1941) p. 227–247 Google Scholar.
4 Oestlyngen, E.: Possibilities and limitations of twin research as means of solving problems of heredity and environment. Acta Psychol. (03. 1949) p. 59–90 Google Scholar.
7 Il s'agit des facteurs P et F (fluency) mis en évidence au moyen de tests d'analyse factorielle notamment par les auteurs britanniques.
8 Dans le même sens d'une différenciation plus forte entre J. I qu'entre J.F. on a fait valoir les conditions de la vie pré-natale. La communauté de membranes foetales (chorion et amnios), la connection étroite de la circulation sanguine, peuvent sans doute déterminer chez les J.I. des ressemblances para-héréditaires mais plus souvent encore, suivant certains auteurs, une concurrence vitale qui se traduit par des différences importantes de poids et parfois même par l'élimination radicale d'un des jumeaux.
9 « Situation géméllaire et développement mental ». J. de Psychol. Avril 1952.
10 La marge d'erreur est sans doute assez grande pour l'estimation du temps de gestation. Nous pouvons cependant supposer que cette marge est du même ordre pour les deux catégories de jumeaux. Statistiquement les chiffres sont alors comparables.
11 « Situation gémellaire et développement mental ». J. de Psychol. Avril 1952.