Published online by Cambridge University Press: 07 December 2011
Avec le discours du Président F. W. De Klerk du 2 février 1990 et les changements dramatiques par la suite évidents dans la politique sud-africaine, beaucoup d'érudits ont été enclin à tourner les yeux vers l'état. Si une transition envers une certaine forme de régie majoritaire est sous la main, comme la plupart des observateurs le croit, les questions sont: dans quelle condition se trouve l'état qui doit etre hérité par les nouveaux gouverneurs, et comment est-ce que celui-ci s'est trouvé dans une telle condition?
Un des processus les plus frappants a été la soi-disante afrikanérisation de l'état, qui a eu lieu pendant la plus grande partie du vingtième siecle et particulièrement après la victoire du Parti National (Purifié) de 1948. Done cet article identifie, premiérement, les creances et coutumes que les membres Afrikaner de l'elite bureaucratique ont acquis pendant leur ascendance au “trône Afrikaner” et, deuxièmement, analyse les tentatives visant à institutionaliser ces créances et coutumes au sein de l'état. Ainsi, cet article est à propos des actes d'une élite bureaucratique Afrikaner cachée derrière des positions d'autorité daris tous les secteurs de l'état depuis au moins quarante ans.