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Published online by Cambridge University Press: 21 August 2012
page 498 note 1 Cf. Nouvelles de I'Union Internationale de Secours aux Tinfants, no. 2, 1932.Google Scholar
page 500 note 1 The Guerzés are in language and culture closely related to the Kpelle in Liberia, their language is practically the same as that of the Kpelle, with only slight dialectical variations.—Editor.
page 500 note 2 C'était quelques mois avant la guerre de 1914. Bien que connaissant l'existence de missions chrétiennes dans le Libéria, les missionnaires ignoraient que certaines travaillaient dans les provinces guerzées de ce pays. Ils ne purent done profiter de leurs travaux linguistiques ni de leurs enqu≖tes. De meme pour les ouvrages de M. Westermann, parus aprés la guerre.
page 500 note 3 Malgré la ressemblance des mots, il est à peu pres certain que Yala ne vient pas de l'arabe. C'est aussi l'opinion de M. Westermann dans son livre : Die Kpelle, ein Negerstamm in Liberia, Göttingen, 1921.Google Scholar
page 502 note 1 Dubois, P., Compte rendu de la 7° semaine de missiologie de Louvain, 1929, p. 79Google Scholar. Éditions de l'Aucam, Louvain.
page 503 note 1 Une objection se présentera peut-≖tre à l'esprit de ceux qui ont quelque connaissance des langues et des croyances mandées. Ces formules de souhaits et de bénédiction ne seraient-elles pas d'origine musulmane?
Mais cette hypothèse ne peut guére se défendre. Car (1) comme nous l'avons dit, ces formules remontent certainement á une époque reculée, et les malinkés ne pénétrérent dans la forêt qu'à une date récente. (2) De plus, jusqu'ici, leur influence au point de vue religieux a été à peu prés nulle. (3) Enfin, quand les Guerzés empruntent à la langue malinkée une formule de salutation, de souhaits, presque toujours ils la conservent dans sa langue originale. Ce qui n'est pas le cas pour les formules dont nous parlons.