Published online by Cambridge University Press: 23 January 2012
In an article, ‘A Contribution to the Study of Zande Culture’, which appeared in Africa in 1960 (vol. xxx, no. 4), I discussed the certain or probable borrowing by the original Azande, the Ambomu, in the course of their migrations, of their main cultivated plants, e.g. eleusine, maize, ground-nuts, manioc, sweet potatoes, bananas, and tobacco, from assimilated or neighbouring peoples. In a second article, ‘A Further Contribution to the Study of Zande Culture’ (Africa, vol. xxxiii, no. 3, 1963), the discussion of cultural borrowings was taken into the field of artifacts and technology: building, smithery, pot-making, carving, plaiting, oracles, and medicines. In the present and final essay some examples are given of borrowing in areas of the social life other than those of cultivation of plants and the arts and crafts.
UNE DERNIÈRE CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DE LA CULTURE ZANDE
Cet article apporte une dernière contribution à l'étude de la culture Zande. Les articles précédents avaient montré comment les Avongara-Mbomu avaient emprunté la majeure partie de leurs plus importantes plantes cultivées et de leurs arts principaux à des populations voisines ou assimilées. Cet article expose comment ils ont adopté certains complexes sociaux et culturels liés à des sociétés secrètes tels que la magie, la circoncision et divers rites mortuaires. Il explique aussi la manière dont la langue a été influencée par celles de leurs voisins. Il est démontré que le développement politique résulte des très larges complexes sociaux et culturels que ces apports ont formés durant les migrations et les guerres de conquêtes des Avongara-Mbomu. Cet amalgame ethnique et culturel, que nous nommons Azande, est dû à une organisation politique très développée, qui permit aux Avongara-Ambomu d'imposer leur langue et leurs institutions aux peuples conquis.