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Published online by Cambridge University Press: 30 October 2017
page 373 note 1. The médiéval english bonugh : siudies on ils origins and constUutional history. Manchester, University Press, 1936 ; in-8°, XX-371 p.
page 373 note 2. Cf., sur le livre de Mr Stephenson, le «problème d'ensemble » de Mr Espinas dans Annales, t. VII, 1935, p. 365 (voir aussi t. III, p. 398) et mon compte rendu dans Revue de synthèse, t. V, 1933, p. 276.
page 374 note 1. Comme, dans une certaine mesure, la première partie du livre de Mr Tait, mais plus expressément encore, c'est sous l'aspect d'une réfutation de l'ouvrage de Mr Stephenson que se présente l'intéressant article que Miss H. M. Cam a consacré aux origines de Cambridge (The origin of the borough of Cambridge; considération of Cari Slephenson's théories dans The Cambridge Antiquarian Society's Communications, vol. XXXV, p. 33-52 et 2 cartes). Appliquant, on le sait, à l'Angleterre les thèses qu'avaient inspirées a Pirenne ses observations sur l'Europe d'entre Loire et Rhin, Mr Stephenson pensait pouvoir distinguer à Cambridge deux agglomérations successives et de nature bien différentes : au Nord de la rivière, un castellum anglo-saxon ; au Sud, c'est-à-dire sur le site de la ville future, un bourg marchand, fondé peut-être sur l'emplacement d'un vieux village, après la Conquête seulement. Que les textes, comme les témoignages archéologiques, attestent, au contraire, en faveur de l'établissement de la rive Sud, une ancienneté égale, approximativement, à celle du centre fortifié voisin et un peuplement de caractère tout à fait analogue, Miss Cam, prudemment, n'a prétendu qu'à le rendre probable ; sauf nouvel examen, qu'elle appelle elle-même de ses voeux, je crois bien, pour ma part, qu'elle l'a démontré.