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page 114 note 2. Paris, Gallimard, 1953, in-16, 158 p. La «Bibliothèque de la Pléiade », chez le même éditeur, comprendra bientôt un volume intitulé Poètes du XVIe siècle, dont le choix et la présentation ont été confiés à M. A.-M. Schmidt — et qui contiendra la Délie. On n'a pas oublié la thèse de doctorat de M. Schmidt ni ses études sur le microcosme du même Scève.
page 114 note 3. Ou encore : « C'est une courte pulsation qu'un dizain de Scève, mais d'une vigueur, d'une amplitude sans pareille. »
page 114 note 4. Cf. p. 121 : « Sur ce dizain (le 370” de la Délie, le 36e du Recueil commenté) l'excellent Parturier ne trouve rien à dire. Il faut donc nous résigner à penser que nul pétrarquiste mineur n'a donné à son désespoir une forme analogue. Nous nous en ferons une raison…. »
page 114 note 5. L'épithète n'est pas une banalité. Dans son Cofhmentaire, M. Boutang a le grand mérite de nous montrer comment, sans cesse, l'amour et la poésie amoureuse de Scève empruntent à Lyon, au Rhône et à la Saône une réalité précise — symbole ou anecdote. Qu'il s'agisse du « Fourvières intérieur » que décrit le 26e dizain — ou du Rhône se mariant à la Saône qu'évoque le 33e — ou du fleuve emporté qui, « en fureur et grand'cri », vient courant des Alpes roiaement (XL, 396).