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Published online by Cambridge University Press: 09 March 2016
1 Les experts en question étaient les suivants: Thomas M. Franck, Rosalyn Higgins, Alain Pellet, Malcolm N. Shaw, et Christian Tomuschat.
2 Comme le note Suzanne Lalonde, puisque les deux puissances coloniales, l’Espagne et le Portugal, avaient précédemment convenu de diviser entre elles l’en-semble du continent sud-américain, le choix des anciennes frontières coloniales comme frontières internationales signifiait que les nouveaux États renonçaient implicitement à recourir à la force pour l’acquisition de territoires.
3 L’auteure fait un argument semblable, aux pp. 124 et 125, lorsqu’elle discute de l’arbitrage frontalier entre Dubai et Sharjah.
4 D’ailleurs, au chapitre suivant, à la p. 170, Lalonde semble accepter cette proposition: “While pronouncements of the ICJ had undoubtedly endowed the uti possidetis principle with some normative status in international law, cases and state practice supported the conclusion that at its strongest, uti possidetis constituted a presumption in favour of the continuity of pre-independence borders.”